Environnement - Nos propositions

  • Rendre possible, avec tous les partenaires locaux, une alimentation 100% biologique et essentiellement locale dans les cantines castelroussines et les restaurants municipaux (EPHADs, personnels de la Ville) sans augmenter les tarifs, pour que tous les convives profitent d’une nourriture saine quels que soient les revenus des familles.
  • Proposer une alternative végétarienne à chaque repas.
  • Passer au Zéro plastique dans toutes les restaurants collectifs municipaux
  • Dès 2021, mettre fin au gaspillage alimentaire en sensibilisant les enfants et convives
  • Donner une réelle place à l’usager (enfants et parents, personnes âgées, employés de la Ville…).
  • Accompagner le personnel dans les évolutions du projet de restauration (formation, sensibilisation, gestion).

Faire de l’agglomération  un territoire exemplaire dans la lutte contre le dérèglement climatique par une contribution équitable à l’objectif national de réduction de 40% des émissions de gaz à effet de serre d’ici 2030 et de neutralité carbone en 2050.

Mettre tout en œuvre pour que l’agglomération devienne avant 2050 un territoire à énergie positive en réalisant un maximum d’économies d’énergie et en réduisant au maximum les gaspillages d’énergie tout en œuvrant à couvrir les besoins restants par des énergies renouvelables locales.

 

Rénovation énergétique

  • Agir contre la précarité énergétique : création d’un observatoire pour un état des lieux afin d’apporter des aides adaptées.
  • Accompagner les particuliers, les bailleurs et les copropriétés au long de leur parcours vers une rénovation énergétique effective globale (au minimum Bâtiment Basse Consommation).
  • Constituer des groupements d’artisans et groupements d’achats pour les matériaux accessibles aux artisans et aux particuliers.
  • Favoriser l’utilisation des matériaux bio-sourcés (chanvre,…)

Energies renouvelables

  • S’engager résolument dans la production d’énergies renouvelables, outil majeur de lutte contre le dérèglement climatique
  • Installer progressivement sur tous les sites publics le permettant (bâtiments municipaux, grands parkings) des panneaux photovoltaïques en utilisant l’électricité produite dans les installations communales et en revendant l’excédent, panneaux propriété de la commune ou d’habitant.e.s : mise à disposition de collectifs de citoyen.ne.s de toitures de bâtiment, pour leur permettre de devenir producteurs d’énergie renouvelable en transformant leur épargne en investissement éco-responsable.
  • Peser sur les projets privés de production d’énergie renouvelable pour que la commune soit présente dans le capital ; ainsi, le territoire de la collectivité bénéficie des retombées financières et la collectivité peut maîtriser le développement de ces projets (la gouvernance locale permet de multiplier par 2 ou 3 les retombées économiques par rapport aux installations purement privées).
  • Développer les réseaux de chaleur existants pour en faire bénéficier aussi les particuliers à proximité, et en créer de nouveaux près des lieux de consommation importants.
  • Au niveau de l’agglomération : dans les centres-bourgs avec un taux important de logements vacants, développer des chaudières biomasses pour alimenter ces logements en énergie renouvelable à moindre coût en accompagnant les propriétaires dans des projets de rénovation globale.
  • Mettre en place un cadastre solaire permettant aux habitants-propriétaires d’évaluer le potentiel de production solaire de leur toiture et d’avoir accès à des coordonnées d’installateurs.
  • L’installation nécessaire d’autres sources d’énergie renouvelable (éolien, méthanisation) sera soumise à un projet énergétique de territoire élaboré avec les habitants.

Sensibilisation et accompagnement des habitants vers la sobriété.

  • Construire ensemble des lieux de partage et de convivialité (recyclerie, ateliers d’initiation à la fabrication et à la réparation…) pour aller vers des modes de consommation différents
  • Impulser et soutenir des actions de sensibilisation et formation sur la transition pour divers publics : élu.e.s, personnels territoriaux, jeunes, habitant.e.s, acteurs et actrices économiques, etc.
  • Accompagner la population à la réduction des déchets (familles « zéro déchet », mutualisation de matériel (broyeurs, tondeuses, outils, …)

Dédier au moins 20 % du budget d’investissement à des dépenses pour diminuer la consommation énergétique (rénovation du patrimoine bâti et de l’éclairage publics).

Rénovation énergétique globale des écoles : pendant le mandat assurer au moins 10 rénovations globales d’écoles au minimum en Bâtiment Basse Consommation, sans perturbateurs endocriniens et pour les adapter au changement climatique.

Pour tout projet de création de nouveaux lieux, privilégier l’installation dans des locaux existants pour limiter la consommation d’espaces, de matériaux… Si construction inévitable, imposer les bâtiments à énergie positive ( qui produisent plus d’énergie qu’ils n’en consomment.

Après un diagnostic du chemin à parcourir établi avec la population, affecter tous les moyens nécessaires pour qu’une part décisive soit accomplie d’ici la fin du mandat (2026).

  • Développer des achats publics responsables en intégrant des exigences et critères sociaux et environnementaux.
  • Impulser la sobriété dans le fonctionnement des services et structures en impliquant personnel et élu.e.s municipaux par des actions de sensibilisation et de formation.
  • Mettre en place une collecte sélective des bio déchets  afin de valoriser correctement tous les déchets alimentaires par le compostage et la méthanisation
  • Développer le compostage domestique et partagé pour enrichir les potagers individuels et collectifs
  • Mettre en place une poubelle supplémentaire (une pour déchets alimentaires, une pour recyclable et une pour les autres déchets)
  • Reprendre la maîtrise de la gestion de l’eau : préparer la sortie de la privatisation de l’eau et de l’assainissement et remettre à plat les contrats dès 2020 pour réclamer une application plus favorable à la collectivité et aux usagers.
  • Créer une « tarification sociale » de l’eau a contrario de l’augmentation du prix de l’abonnement qui gonfle le prix au M3 pour les foyers les moins consommateurs : par exemple les premiers M3 consommés gratuits.
  • Contre la pollution de l’eau potable par les nitrates et les pesticides, exiger une conversion en agriculture biologique des périmètres de protection des captages, en entrant dans un dialogue constructif avec les agriculteurs et agricultrices mais aussi si nécessaire dans un rapport de force déterminé avec les lobbies, en informant et impliquant systématiquement les usagers.
  • Mettre en place un SAGE Indre (Schéma d’Alimentation et de Gestion de l’Eau) pour agir de façon cohérente en faveur de la préservation de l’eau et des milieux aquatique

24 antennes mobiles sont implantées à Châteauroux.100% de la commune est couvert en 4G par au moins un opérateur. Face aux incertitudes sur les effets de la multiplication du nombre et de la puissance des antennes et relais en termes de santé environnementale, et ceux du haut-débit sur la santé humaine.

  • Mettre en place un moratoire sur le déploiement de la 5G, en attendant que les risques sur la santé humaine et l’environnement aient été pleinement étudiés par des scientifiques indépendants.
  • Soumettre alors la question du déploiement de la 5G à un jury citoyen tiré au sort auquel il sera donné les moyens d’expertiser le sujet. En cas de non consensus sur les mesures à prendre la question sera soumise à référendum.
  • Attribuer une délégation « protection animale » à un·e membre du conseil municipal et prévoir une ligne budgétaire dédiée.
  • Développer des actions de sensibilisation à l’éthique animale (communication de la Ville, activités périscolaires, associations, etc.).

Animaux de compagnie

  • Soutenir une politique de stérilisation des chats errants en partenariat avec des associations de protection animale.
  • Obtenir une transparence de l’activité de la fourrière et viser à une forte diminution des euthanasies d’animaux qui y sont pratiquées (surtout des chats : 987 en 2018)

Restauration scolaire et extra-scolaire

  • En allant vers le 100% bio, Intégrer le « bien-être animal » dans les critères d’attribution des marchés publics pour les cantines scolaires et la restauration collective et exclure tous les produits issus de l’élevage intensif.
  • Augmenter la part de protéines végétales dans les menus de la restauration collective.
  • Au-delà de l’obligation légale d’un repas végétarien par semaine, instaurer une option végétarienne quotidienne.

Cirques

  • Prendre toute mesure légale possible contre l’installation de cirques détenant des animaux sauvages.
chateauroux demain; Chateauroux DEMAIN

Deux propositions phares de Châteauroux Demain en vidéos : 100% bio essentiellement d'origine locale et pour une eau sans nitrates ni pesticides.